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Un projet collaboratif

Le lancement du média en ligne Marcelle, le 27 septembre 2018, est l’aboutissement d’une année de réflexion, d’échanges et de croisement d’expertises (des journalistes mais pas seulement, des chefs d’entreprise, des enseignants, des communicants…) afin de concevoir un média aussi pertinent et durable que possible.

L’objectif est ambitieux puisqu’il s’agit de créer un nouveau media en ligne, indépendant et interactif, qui s’intéresse aux actions et initiatives utiles à la personne et à la société. A Marseille, dans un premier temps.

  est précurseur dans la nouvelle forme de journalisme estampillé « d’impact ou de solutions », qui émerge actuellement. Ce sera le premier média de ce type lancé en France.

Une ligne éditoriale originale

Un média de solutions, c’est un média qui :

-traite de sujets ayant un impact sur l’individu, la société et l’environnement

-relaie sans distinction les réalisations ou initiatives émanant d’entreprises, d’associations, de fondations, de collectifs ou de particuliers. Les engagés et les « faiseurs » quels qu’ils soient.

Sous différentes formes – articles classiques, portraits, interviews. Les sujets alimentent 13 thématiques (économie, société, éducation, culture, solidarité, alimentation…) et des rubriques dédiées – « les engagés », « Ça marche ailleurs », « Leurs idées » … Avec un agenda qui relaye l’actualité et les rendez-vous des uns et des autres.

Au-delà d’informer qui est l’essence de tout média, :

–  entend fédérer une communauté d’intérêt et de pensée qui cherche à valoriser tout ce qui sert le bien commun, ce qui peut aller vers du « mieux commun ».

-s’inscrit dans une temporalité différente de celle des autres médias. Moins en prise avec l’actu chaude, en s’intéressant à des sujets plus transversaux, intemporels. Jamais dans l’effet d’annonce mais dans le retour d’expérience, souvent étayé par des reportages sur le terrain.

-s’implique dans la mise en lien et le relais des projets et solutions qui traversent ses articles : en se faisant l’écho des besoins des porteurs de projets (humains, matériels, financiers, technologiques, visibilité…) Assortis d’une option « Bonus » qui propose suppléments d’informations, conseils de lectures, témoignages complémentaires, relais d’initiatives de même nature mais ailleurs…

Modèle économique

-Le journal a vu le jour grâce à un financement participatif porté par l’association Marcelle et Nous et ses 50 membres fondateurs. A ces actionnaires de la première heure investis dans la conceptualisation du projet s’ajoutent désormais les abonnées engagés (abonnement à 120€/an au lieu de 50) qui détiennent une action.

Le modèle économique repose sur deux sources de revenus :

les abonnements, mensuels ou annuels, avec 3 niveaux possible (simple, contributeur, engagé)

du mécénat avec des parrains qui soutiennent une thématique et offrent la lecture libre.

Il n’y a pas de publicité

Les soutiens au 30 décembre 2020

De 5 parrains en 2019, nous sommes passés à 10 en 2020 (tous ceux de 2019 nous ont renouvelé leur engagement et leur confiance). Des institutions ou entreprises de référence :  le MUCEM, Le FRAC (Fond Régional d’Art Contemporain), l’APHM (Assistance Publique des Hôpitaux de Marseille), le ZEF (scène nationale de théâtre), les entreprises Tenergie, Tempo One, Free Agent, CEA (le Centre à l’énergie atomique de Cadarache), Enerlis mais aussi des fondations comme Fond Epicurien…. 

Les partenariats se multiplient, par exemple, avec La Fondation de France qui nous a associé à sa dernière remise de « lauriers » pour la région Méditerranée.

L’équipe de journalistes

Les articles sont écrits par un collectif de journalistes marseillais, travaillant pour d’autres médias – locaux, régionaux ou nationaux. Mais qui tous ont envie de donner un supplément de sens à leur travail, envie d’écrire sur des sujets qui leur tiennent à cœur et derrière lesquels il y a une utilité pour la société. Un mouvement important est en train de se fédérer dans cette profession par nature individualiste. Autour de la quête du sens et de l’intérêt général. L’époque est à la généralisation des formats courts, l’instantané, l’information qui déroule sans discontinuer.

De nombreux journalistes cherchent à approfondir des sujets et Marcelle leur en donne la possibilité et la liberté puisqu’il n’y a aucune contrainte de format ni même de support. Le son et la vidéo pouvant être un complément au texte.

Aux 10 Marseillais se sont récemment adjoints 4 journalistes d’autres régions.

Périodicité

  publie un article de fond chaque jour (soit au minimum de 5 par semaine) : des papiers longs et documentés. Et des brèves de l’ordre de l’article court. Le principe est de faire primer la qualité sur l’infobésité. De ne pas noyer nos lecteurs sous une profusion d’informations.

Lecture et audience

Nous avons franchi la barre symbolique des 1000 abonnés payants en 2020.  

Pour autant, les abonnés ne reflètent pas la réalité du nombre de lecteurs de Marcelle, compte tenu des nombreux articles en lecture libre grâce à nos parrains et des brèves qui le sont systématiquement.

Ainsi en 2019, les articles avaient été lu par 74 000 personnes 343 000 en 2020 – le confinement ?

Pour lire et consulter les articles, il y a le site en ligne bien évidemment. Dont l’actualité est relayée par deux newsletters : une quotidienne du lundi au vendredi. Une hebdo le samedi. Adressées aux abonnés ainsi qu’à ceux qui s’y abonnent via le formulaire d’inscription sur notre site.

Marcelle est également très présent sur les réseaux sociaux, avec des comptes Facebook, Linkedin, Twitter et Instagram.

30 sujets « découverte Marcelle » ont donné lieu à des reprises presse nationale (TF1/ France 2 /RTL/France info/ le Times/Figaro /Echos/AFP/Femina …).

Nous avons par ailleurs édité trois numéros papier : le premier en octobre 2018 pour communiquer et faire connaître notre média. Le second en 2019 sur la thématique de l’environnement. Le troisième à l’occasion du forum de l’économie en septembre 2020.

Renforcer les liens avec des soirées-débats

Nous organisons des causeries-débats, à raison d’environ 7 éditions par an. Le choix des lieux n’est pas anodin et se porte sur des lieux engagés, expérimentaux, ayant une implication sociale, environnementale, économique ou culturelle. Nous avons ainsi pu rencontrer nos lecteurs mais aussi un public curieux aux quatre coins de Marseille : à la Cité de l’agriculture, au tiers-lieu Coco Velten, au FRAC Paca et au ZEF, scène nationale des quartiers nord de Marseille…

Un projet collaboratif avec la Fédération des Sociétés Nautiques des Bouches-du-Rhône.

Créée en 1945, c’est l’une des plus anciennes fédérations de plaisanciers de France. Les sujets qui la mobilisent, touchent tous les domaines du nautisme que ce soit en termes d’économie, d’environnement, d’aménagement, d’emploi, de sécurité, de tourisme, d’éducation, de loisir ou de sport.

La Fédération des sociétés Nautiques siège aux : Commissions nautiques locales/Conseils portuaires/Conseil consultatif régional de la mer/ Assemblée maritime pour la croissance régionale et l’environnement/ Conseil économique, social et culturel du Parc des calanques/Comité de pilotage du Parc marin de la côte bleue.

Depuis 2016 elle réunit chaque année au mois d’octobre tous les usagers de la mer, pour nettoyer le Vieux-Port de Marseille.

Nettoyage du Vieux-Port à Marseille

Nettoyage du vieux Port :  l’édition 2020 sous la menace du Covid.

Edition après édition le nombre de bénévoles s’est multiplié. Son impact médiatique a même été quantifié par une étude de la CCIMP (16 télévisions, 33 radios, des dizaines d’articles dans la presse écrite …).

La crise sanitaire empêche une édition classique. La nouvelle tombe début septembre.

Michel Lamberti le président de la FSN13 et des équipes de  et Nous travaillent dans l’urgence sur un nouveau concept. Il va s’inscrire dans une démarche environnementale globale dans le cadre de la préservation de la méditerranée.

Révolution technique. Des drones sous-marins vont être utilisés en amont et pendant l’opération. Equipés de caméras et de capteurs ils vont repérer puis Cartographier des « cibles déchets » à enlever sur une carte accessible au grand public. Le jour J ces drones vont permettre de retransmettre en direct le travail des plongeurs mais aussi d’échanger avec eux.

Une « Première mondiale » retransmise sur You tube et Facebook et dans les 470 écoles primaires de Marseille.

Révolution Pédagogique Les éditions passées ont montré que 90% des déchets remontés provenaient de la terre et non de rejets en mer apportés par les courants. L’ensemble des associations et des sociétés qui œuvrent dans le domaine de la récupération et du traitement des déchets sont associés à l’opération. Sur le site choisi, l’équipe intervenante constituée de pilotes de drones, de plongeurs, de plaisanciers, de bénévoles et de professionnels du tri.

Des scientifiques, des élus et un groupe d’élèves représentatif des écoles marseillaises répondront ou poseront les questions retransmises en directes.

Tout cela en présence des médias qui pourront utiliser les images et les retransmettre ou choisir d’envoyer un journaliste sous l’eau pour commenter en direct l’opération.

Le 15 octobre 2020 Nicolas Gambini Président de Notilo+ assure la liaison en direct entre les plongeurs-éboueurs et les élèves des écoles de Marseille en présence de la Maire Michèle Rubirola, du Président de Neede Cyprien Fontvieille et de Michel Lamberti Président de la FSN13.

Codifié sur le plan technique et budgété (poste par poste), ce concept désormais placé sous l’égide de NEEDE ACTION servira de modèle et de référence. Il pourra être exportable et reproductible, dans tous les ports de méditerranée

Opération Oxseagen en partenariat avec