Faune

LA PLAISANCE AMORCE SA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE
Issus de l’enquête réalisée par le Press Club pour Neede Méditerranée sur la transition énergétique dans la plaisance, cette série d’articles est une mise en lumière des problématiques, mais aussi des solutions à mettre en place. Pour les scientifiques il est impératif de naviguer propre rapidement dans les ports et la bande côtière.
Retrouvez l’intégralité de l’enquête
dans « Refit L’étude »

On l’a vu avec le mérou et le thon rouge, les stocks de pêche ne sont pas infinis. La pratique industrielle n’est pas la seule responsable de l’appauvrissement de nos ressources marines. Les consommateurs aussi, peuvent participer à la préservation de la biodiversité et de la pêche durable. Il suffit de ne pas manger de poissons n’importe comment et n’importe quand.

Depuis les années 60 et les premières initiatives pour apporter des solutions écologiques aux zones 100% artificialisées par la construction des ports de plaisance, les techniques ont considérablement évolué. Les erreurs, comme les récifs artificiels en pneus immergés dans les années 1980, sont un lointain souvenir. Pour autant aucune étude d’impact sur ce type d’installation n’a jusqu’à présent été menée.

Longtemps sans aucune protection contre les agressions humaines, le milieu marin a commencé de préoccuper les pouvoirs publics au milieu des années 1960. La première loi sur le régime, la répartition et la lutte contre la pollution des eaux date en effet du 16 septembre 1964, une époque où le gouvernement n’avait pas encore jugé utile de créer un ministère de l’Environnement.